Une année sans le Matin et sans plan social

Une année pile après l’annonce de la disparition du Matin, il n’y a toujours pas de plan social digne de ce nom pour les 41 du matin

Edgar Bloch, vice-président d’impressum, déclare : «Nous, chez impressum, sommes profondément déçus par la dureté de Tamedia à l’égard de ses employés licenciés du Matin. Heureusement, grâce à notre engagement, le plan social sera décidé prochainement par des juges arbitres impartiaux».

Pour Franca Siegfried, présidente d’impressum, «En plus de la dureté du destin des 41 licenciés du Matin, nous déplorons le désinvestissement de Tamedia du journalisme dans toute la Suisse. Il est temps que les dirigeants de Tamedia appliquent concrètement leurs déclarations sur la qualité du journalisme».

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